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Comment on fait de la bière ? Du malt à la tireuse, version BU

Bienvenue dans les coulisses dorées de la BU !

Ici, pas de secrets d’alchimistes bien gardés… ou presque. Juste une bonne dose de savoir-faire, quelques brassins d’amour du terroir, et une tireuse qui n’attend que vous.

Prêts pour le voyage de l’orge à la pinte ? Enfilez vos bottes, on vous emmène dans les entrailles mousseuses de la Brasserie de l’Union, en plein cœur du Périgord Noir.

Étape 1 : Le malt, ce doux début

Tout commence avec le malt. Pas celui de la pause biscuit de 10h, non.
Un malt d’orge blond, doré comme les pierres de nos bastides, issu de céréales rigolotes qui ont vu le soleil, la pluie, et parfois même une biche curieuse. Le malt, on le concasse avec amour : ni trop fin, ni trop gros, pile-poil pour en tirer le meilleur.
C’est un peu comme casser la croûte, mais en version grain.

Étape 2 : L’empâtage, ou quand l’eau et le feu se marient

Titre de la partie

Sous titre de la partie

Direction la cuve d’empâtage.
On mélange notre malt concassé avec de l’eau chaude – la nôtre vient direct du Périgord, et elle est aussi pure que les matins d’hiver à Castelnaud. On chauffe, on touille, et les sucres naturels du grain se libèrent, doucement, comme un secret murmuré à la mousse.
À ce moment-là, la brasserie embaume le pain chaud et la confiture de blé. Rien que ça.

Étape 3 : Le brassage et le houblon, la touche BU

Place au brassage, là où la magie opère.
On filtre le moût (le jus sucré), puis on le fait bouillir. C’est à ce moment-là qu’on invite notre copain le houblon à la fête. Lui, c’est le poète de la bière : il apporte l’amertume, les arômes, parfois des notes d’agrumes, de pin, ou même de fleurs de nos collines.
À BU, on le choisit avec soin. Parce qu’une bière sans houblon, c’est comme un été sans moustique : agréable, mais pas crédible.

Étape 4 : La fermentation, ou la danse des levures

Le moût refroidi part ensuite en cuve de fermentation.
On y ajoute la levure – la fée invisible qui transforme le sucre en alcool et en gaz. Pendant plusieurs jours, ça bulle, ça mousse, ça vit. La bière prend forme, caractère, et parfois un petit grain de folie.
Nous, on l’accompagne, on l’écoute, on la laisse devenir ce qu’elle est. Un peu comme une bonne conversation entre amis.

Étape 5 : La garde et la mise en fût

Quand la fermentation est terminée, on refroidit le tout.
La bière entre en garde. C’est son moment cocooning : elle s’affine, s’éclaircit, se repose. On la filtre, parfois, ou on la laisse naturelle, selon le style. Puis, elle file en bouteille, en fût ou en canette, selon son destin.
Et parce que rien ne vaut une bière fraîche tirée dans les règles de l’art, on bichonne aussi nos tireuses. Pression calibrée, lignes propres, mousse bien coiffée.

Étape 6 : À la vôtre, sous le château

Et voilà.
De la graine au graal, votre bière BU est née, fruit d’un savoir-faire artisanal ancré dans la pierre et le cœur du Périgord. Vous la retrouvez à la pression sur notre grande terrasse sous le château de Castelnaud, ou à emporter pour prolonger le plaisir.
Mais ce qu’on préfère ?
Vous la servir avec un sourire, une anecdote, et pourquoi pas un peu de musique live en fond. Parce que chez BU, la bière, c’est l’union sacrée entre les gens, les lieux et le goût.

Envie de voir tout ça en vrai ?

Visites gratuites toute l’année à la Brasserie de l’Union à Vézac, Dordogne, Périgord Noir
Dégustations sur place, street food maison, boutique, et une belle brochette d’événements brassicoles à ne pas manquer.
Et bientôt… Une grande fête de la bière artisanale en Périgord. Restez branchés !

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Note-ça dans ton agenda !

Lieu dit le port, 24220 Vézac

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